Envie d’un voyage de chanson-noir dans un univers paradisiaque et apocalyptique à la fois ? Le nouvel EP d’Alice Gift Nothing Against Uplifting, But… est le bon billet. Review.
NOTHING AGAINST UPLIFTING, BUT… – ALICE GIFT
Et dans ce labyrinthe, j’y trouve les guitares puissantes, quasi gothique, de Headwar, mais aussi le paradisiaque paysage urbain peint par Too Much Outside et son piano, entre sérénité et angoisse. Si le compositeur se partage entre la France et Berlin, c’est un hommage volontairement dramatique à l’ouest américain qui marque cet opus. To Live and Die in L.A. parle de l’euphorie de cette ville de glamour et la fait entrer dans les profondeurs tragiques de sa réalité. Un drame proportionnel au rêve que la ville fait miroiter à beaucoup.
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Avec des textures très 80s, ça enchaine avec Pride (Prequel). Parfait pour le dancefloor, le titre fait monter une pression, une envie d’évasion du synthé de Djamila Paris. Et pour calmer cette énergie, This Time arrive comme dernier titre, sans doute un des plus beaux, avec cette voix soufflée. Le ciel s’éclaircit, la sortie du labyrinthe se montre. Arrive le choix de retourner se perdre dans ses guitares et ses synthés ou pas. J’appuie sur play encore une fois. Juste une fois, pour me retrouver dans cet incroyable EP d’Alice Gift, Nothing Against Uplifting, But…
En écoute : To Live And Die in L.A.
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: ALICE GIFT – Philipp Boegle
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