Pour son deuxième album, Holloway Nights, Drew Davies a fait de la nuit son associé. Review du résultat de cette collaboration impactante.
HOLLOWAY NIGHTS – DREW DAVIES
Cet univers urbain et nocturne, éclairé de néons à la Cyberpunk 2077, continue. Et le mariage entre rock et électro est encore un succès, chatouillant l’oreille de moments épiques salutaires (The Comeback, Codename: Softboi). La nuit est encore longue, et notre protagoniste solitaire prend la route avec des élans romantiques (You’re The Only One) et sexy (Bad Girl). Il s’arrête pour un moment psychédélique et hors du temps sur Holloway Nights, et pour un autre, dans une rue peuplée de créatures de la nuit, beaucoup plus ferme – Heavy Manners.
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Après ce moment intense, l’artiste propose la ballade amère et endeuillée Should Have Known Better, pleine de regrets et de douleur. Enfin, l’album se conclut sur In The Name, une prière dans la nuit dont les éclats électriques contrastent avec son intro douce. Encore une fois, entre la guitare et les synthés, la magie opère. Les hauts et les bas de Drew Davies le poussent dans une écriture fascinante sur Holloway Nights, et ramènent ainsi la nuit au beau milieu du jour. Le néon clignote, se rallume et bourdonne à nouveau.
En écoute : The Bitter End
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: DREW DAVIES
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