Playlist de la semaine 2024 #5

C’est la première playlist de la semaine de février et entre les rattrapages et les nouveautés, y a de quoi faire. Petit condensé de chansons cools.

On commence cette playlist de la semaine avec le retour attendu et flamboyant de The Howlers avec le groovy Lady Luck, extrait de leur premier album, What You’ve Got To Lose To Win It All, à venir en mai. Incroyable ! Puis, la poigne de Mannequin Death Squad va vous cueillir ensuite avec Everybody’s Movin. Motivation tendance hard-rock garantie. Dans le même genre, du blues en plus, on retrouve Little Odetta avec Struck, extrait de leur prochain album. Entre harmonies classiques et guitares puissantes, c’est carré. Ensuite, Devon More chante une ode à son corps sur My Body Is. — Inspirant, body-positive, c’est charmant.

- - - - Besoins de plus de playlists ? On a ce qu’il faut.

Avec The Padres, il y a un sentiment étrange d’hospitalité et de rejet, intelligemment bien construit dans Where Nothing Happens All The Time. C’est plus sombre que le reste, mais c’est aussi hypnotique. Ramènent de la couleur, le blues-rock de Kojak avec Midnight, parfait pour une petite marche sans se prendre la tête à n’importe quelle heure. Killer’s Kiss de The Devils déboule ensuite avec beaucoup de texture, un gras que j’adore. Devon Thompson les suit de près avec un rock plus calme, romantique agacé, sur I Love You But It Hurts Like Hell. Efficace, propre.

L’approche que prend Gabrielle Ornate est un peu plus électro, avec des effets de voix assumés et quand même des riffs bien sales sur Enchantress of Sound. Plus pop, la chaleur de Say My Name, nouveau titre de Maria Rosenberg, est enveloppante, rassurante, fascinante. C’est un plaisir d’y découvrir sa voix au grain si particulier. À sa suite, on retrouve les incroyables Ponte Pilas avec Too Much Scenery, et je ne peux pas rester en place – et je vous mets au défi de résister. La playlist de la semaine se termine sur le sauvage et tout aussi irrésistible Home Team de Everyday Dogs.