C’est en se baladant dans les genres que Calum Ingram créé The Man, un album intime et musicalement abouti. Review.
THE MAN – CALUM INGRAM
Mais Calum Ingram sait aussi faire dans la douceur. Les cordes classiques de son duo avec Michael G. Ronstadt sur Cup of Urafain sont vibrantes, épiques et pourtant délicates. Délicat, Igram le reste plus tard aussi sur How You Move Me avec de fortes inclinaisons blues autours d’élans pop. Entre les deux, Show Me the Way est un véritable banger à l’énergie implacable, alliant orgue et violoncelle électrique pour un duel blues et hard rock d’une autre dimension. Michael G. Ronstadt revient ensuite sur le profond et curieux Around Us, pour lequel j’ai un coup de cœur.
-
-
-
-
-
Découvrez nos précédentes reviews !
-
-
-
-
La maitrise de ses instruments (du violoncelle classique et électrique, à la guitare et au clavier) est incroyablement impressionnante. Ça fait toute la spécificité de l’album pour moi, autant que le mélange des genres. Un bout de jazz s’invite sur Blame, un autre bel exemple de ces spécificités maitrisées. La pop revient sur Small Hours et la soul sur Strong and Alone. Et enfin, il clôt avec Japan, un titre très rock aux teintes mélancoliques. J’adore. La signification de chaque titre est clairement forte pour l’artiste qui y place son cœur et sa passion. Avec ses arrangements fluides et harmonieux, allant du plus classique à l’électro, Calum Ingram fait de The Man est un album fin et incroyablement riche pour les amoureux de musique.
En écoute : Cup of Urafain
SPOTIFY – INSTAGRAM – GROOVER – SUBMITHUB – MUSOSOUP
: CALUM INGRAM – CHRISTINA JANSEN
CURIEUX ? JETEZ UN ŒIL À LA DISCOVERY ROAD !
L’article FLASH: THE MAN – CALUM INGRAM est apparu en premier sur Unis Son.