Plonger dans la poésie fine de What the Thunder Said est tout ce que demande Elysian Fields. Difficile de leur refuser ! Review.
WHAT THE THUNDER SAID – ELYSIAN FIELDS
Enchanteur sur First Last Wishes, le duo New-Yorkais, devenu quatuor Franco-Américain à la scène et au studio pour cet opus, l’est aussi avec les pointes jazz-soul de This World Is Just a World. Indomptable (Must Have Meant) ou romantique (Before the Crashing Waves) Elysian Fields est toujours à la recherche du paysage idéal. Know Not Whorl est peut-être celui qui prend le plus de risques avec une ambiance plus cauchemardesque qu’onirique. Sortie de l’éther, son intrigue peut devenir obsessionnelle. Pour en sortir, We’re Losing Her propose une autre peinture.
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Il y a toujours une touche de soleil qui se voit contrebalancée. Avec une froideur dans ses accords de guitare ou de piano (I Can Give You That, Say You’re Sorry) ou un ton de voix plus ferme (Changeling), parfois les deux (What the Thunder Said) le contraste reste subtil. L’ensemble reste rayonnant et reposant. L’album termine sur Strawberry Moon et, comme son commencement, c’est un enchantement. Grâce à sa poésie, Elysian Fields invite à prendre son temps avec les ambiances mystiques, mythiques et fascinantes de What the Thunder Said.
En écoute : Must Have Meant
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: ELYSIAN FIELDS – MICHAEL LAVINE
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