Opérer un tournant artistique, même léger, n’est pas toujours simple. Foreign Fields le fait superbement avec leur nouvel album, What It Cost. Review.
WHAT IT COST – FOREIGN FIELDS
Un piano aérien sur une production tendance électro, plus terre-à-terre, soulignent une mélodie catchy, et c’est le coup de cœur pour When You Are. Il y a quelque chose chez Foreign Fields qui parle, qui touche profondément, que ce soit dans ces instants démonstratifs et ouverts, comme dans ceux plus intimistes (Show Me Love). Folk mélancolique et transcendante (Glowworm), ambiance lo-fi progressive (Clear Air), accords entêtants et tendres saupoudrés d’expérimentations saturées (Faultlines, Damages)… s’il y a quelques écarts au folk, l’ensemble est particulièrement harmonieux et envoutant.
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Pour clore l’album, tout devient encore plus sobre et intime, avec le piano-voix discret de Bloodstone et, enfin, le tendre Waking Up. Le duo, composé de Brian Holl and Eric Hillman, capture des images d’un quotidien universel sans s’interdire d’expérimenter. Accompagnés de Nate Babbs (batterie) et Nick Morawiecki (guitare), le duo fait de What It Cost un vrai tournant pour Foreign Fields tout en gardant l’essence du groupe intact : la liberté. Le résultat est une vraie pause contemplative, introspective et pleine d’amour.
En écoute : A Little Longer
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: FOREIGN FIELDS – MITCH BUSS
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