Le quatrième album de yama, ; semicolon, est une collection pop de forts contrastes et de belles collaborations. Review.
; SEMICOLON – YAMA
Iel rajoute un peu de pixels et voici Seimei. On reste dans un univers beaucoup plus pop-électro que mon habitude, mais sa qualité et sa chaleur le rend indispensable. Cependant, yama sait aussi proposer des titres teintés plus rock. Arrive BURN en duo avec WurtS qui est un petit coup de cœur pour moi. La saturation reste sur les guitares et s’étends aux synthés avec MUSE qui suit dans une explosion de couleur ! Pleine d’une énergie indomptable, yama enchaine avec le palpitant Origin.
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Une touche de jazz et de funk dans sa pop sont du plus bel effet quand iel s’associe avec Taka Perry pour le groovy et un poil nostalgique Vinyl. Et si tout était pétillant jusqu’ici, l’artiste anonyme n’hésite pas à ralentir le rythme et invoque la golden hour, le calme et la compassion avec le très joli rain check. Pour installer une atmosphère mélancolique, yama associe sa délicatesse à la puissance du groupe rock indigo la End sur le sublime Drop. Enfin, c’est avec sobriété que yama achève son quatrième album, ; semicolon, à travers son morceau éponyme. Tout est histoire de contraste, dans la lumière de ses atmosphères, dans les textures, dans ses collaborations, et ça lui réussit à merveille !
En écoute : semicolon
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: YAMA

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