Le lundi 08 février 2016 dans Arts, Coup d'oeil de Kiblind
Francesco Ciccollela ne fait pas dans la fioriture. Aux pattes de mouches et à l’illustration ciselée, l’Ecossais préfère les grandes claques. Formes simples et grands aplats de couleur servent Francesco dans son obsession de grandeur et de majestuosité. Point de mégalomanie dans cette manie, mais plutôt l’envie d’apporter un contraste fort avec les textes de journaux qu’il accompagne et de marquer durablement l’imaginaire des lecteurs. Celui qui fut élève de l’Université d’Arts Appliqués de Vienne récupère aujourd’hui ce qu’il a semé, avec la reconnaissance de la presse européenne.
Francesco Ciccolella publie en effet un peu partout ses dessins à l’allure racée et à l’humour taquin. Le Financial Times, Monocle, Wired, Datum ou The Guardian font ansi régulièrement appel à lui. Et, de notre côté, nous lui offrons notre coeur digital à chacun de ses postes Instagram.
Par Maxime Gueugneau de Kiblind