Painted Ruins<\/em>","created_timestamp":"0","copyright":"","focal_length":"0","iso":"0","shutter_speed":"0","title":"paintedruinscover","orientation":"0"}" data-image-title="paintedruinscover" data-image-description="" data-medium-file="https://doyouwantmusic.files.wordpress.com/2017/08/grizzlybear.jpg?w=620?w=300" data-large-file="https://doyouwantmusic.files.wordpress.com/2017/08/grizzlybear.jpg?w=620?w=600" class=" size-full wp-image-5698 aligncenter" src="https://doyouwantmusic.files.wordpress.com/2017/08/grizzlybear.jpg?w=620" alt="paintedruinscover" srcset="https://doyouwantmusic.files.wordpress.com/2017/08/grizzlybear.jpg 600w, https://doyouwantmusic.files.wordpress.com/2017/08/grizzlybear.jpg?w=150 150w, https://doyouwantmusic.files.wordpress.com/2017/08/grizzlybear.jpg?w=300 300w" sizes="(max-width: 600px) 100vw, 600px" />
Moment tranquille avec le nouvel album de Grizzly Bear, Painted Ruins, cinq ans après le précédent. Flash.
Avec son introduction tout en douceur et ces voix changeantes et tendres, Wasted Acres nous fait fortement penser à certains des titres de QOTSA, et on ne dit pas ça à cause du dernier album. On passe à quelque chose d’un peu plus pêchu avec Mourning Sound, qui donne le ton pour le reste de l’album. Toujours teinté d’une grande douleur, même pour les titres les plus lumineux, l’album est calme, idéal pour le réveil, Systole et Sky Took Hold particulièrement. Très homogène, on n’a malheureusement pas de grand coup de cœur, malgré une très belle production.
En écoute : Morning Sound